Baku : une ville futuriste et en plein développement qui mérite d’être visitée lors de votre séjour en Azerbaïdjan. Voici une liste d’attractions à ne pas manquer !
Flame Towers : dernier repère de la ville depuis 2012, ces trois tours en forme de flammes deviennent la nuit d’immenses écrans LED sur lesquels défilent diverses animations, jusqu’à ce qu’elles soient dévorées par un immense feu ardent. Les tours sont toujours visibles depuis la baie et le centre et créent un contraste aliénant avec les couleurs et l’atmosphère de la ville.
Le centre culturel Heydar Aliyev : conçu par l’architecte anglo-irakienne Zaha Hadid, il est un symbole national de l’Azerbaïdjan et de la brillante Bakou moderne.
Le bâtiment se dresse sur une immense pelouse verte entourée de fontaines dans une zone de banlieue pas trop éloignée du centre, et étonne totalement par la beauté et la fluidité de ses formes en « ondes continues ».
Baku Boulevard : le cœur de la vie nocturne de la ville azerbaïdjanaise, vécue à toute heure du jour, toujours pleine de gens et de belles choses à faire et à voir. Parsemée de clubs, de bars et de restaurants, ainsi que de boutiques exclusives, la promenade de Bakou est sans aucun doute le boulevard le plus attrayant de la capitale et l’endroit idéal pour se promener tranquillement, grâce également aux parterres de fleurs et aux fontaines entretenus, aux expositions, aux sculptures de haies et aux plantes exotiques.
Vieille ville : le cœur du centre historique de Bakou, entouré de murs anciens. La magie de ce lieu réside avant tout dans la combinaison de styles (du classique au rococo, en passant par le gothique et le baroque) qui se mêlent et sont en parfaite harmonie les uns avec les autres. Déclarée patrimoine mondial de l’UNESCO, la vieille ville de Bakou abrite la plupart des curiosités de la capitale, même si elle est aujourd’hui inhabitée.
Le palais de Shirvanshah : dans le centre historique de Bakou se trouve ce palais, un autre des sites du patrimoine mondial de l’UNESCO du pays. C’était la résidence des souverains, et c’est aujourd’hui un complexe comprenant le palais lui-même, la cour Diwankhana, le palais de justice, le caveau funéraire de Shirvanshah, la mosquée avec son minaret, le hammam et le mausolée de Sayid Yahya Bakuvi.
La mosquée Bibi-Heybat : elle a été reconstruite au XXe siècle, sur le modèle du XIIIe siècle, détruit en 1936 par les bolcheviks. Il est situé sur le bord de la route de Bakou, le long de la mer Caspienne, et derrière lui se trouve une colline utilisée comme cimetière. Il peut sembler anonyme de l’extérieur, mais l’intérieur vous surprendra.
La tour de la Vierge : aujourd’hui détachée du reste de la vieille ville, cette puissante structure est le symbole de la Bakou médiévale et préislamique. Les légendes qui l’entourent trouvent leurs racines dans le culte zoroastrien du feu, mais il est plus probable qu’elles soient dues à un malentendu linguistique : jamais touchée ni détruite par les ennemis, la tour était qualifiée de vierge.
La nouvelle ville : La vieille ville est bordée de boulevards bordés d’arbres, de fontaines, de palais de style gothique, néoclassique et éclectique, comme dans les grandes capitales européennes. Construit avec la même pierre jaunâtre que le sable du désert, mais avec des pignons, des pilastres, des pinacles et des fenêtres trilobées. Aujourd’hui, nombre d’entre eux abritent les plus célèbres boutiques de haute couture internationales.
Ateshgah de Bakou : autrefois utilisé comme lieu de culte hindou et zoroastrien, c’est un temple religieux ressemblant à un château. « Atash » est un mot persan qui se traduit par feu, et en fait la particularité de ce lieu sont les flammes toujours allumées et les salles qui racontent des scènes de la vie quotidienne ainsi que des épisodes historiques relatifs à la période zoroastrienne.
Le Métro : Elle vaut la peine d’être visitée pour la particularité de certains arrêts, qui sont très élégants et ressemblent presque à des salles de bal, mêlant décorations traditionnelles azéries et style soviétique, comme à Elmler Akademiyasi.
L’autre mérite du métro de Bakou réside dans les mélodies choisies pour annoncer les noms des stations. Un morceau de 10 secondes issu du patrimoine musical azerbaïdjanais est associé à chaque arrêt, en lien avec la signification du nom de la station.
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