A base de PoPoPoPo : Here we are, de retour pour te jouer un excellent tour, car trêve de pokémonade, on te fait un retour d’expérience sur la Géorgie, et, tu risques d’être surpris. Car, ce pays méconnu réserve énormément de surprises, que ce soit la gentillesse des gens, les paysages incroyables ou encore … bien d’autres choses à découvrir. Alors monte en selle bébé, je t’emmène, accroche toi à ton slip pour ce retour d’expérience en Géorgie. Nous sommes restés un peu plus d’une semaine, et on a fait la côte : Kobuleti, Batumi, mais aussi Kutaisi. Bon déjà, tu vas être très dépaysé niveau paysage : tu passes d’une ville très vieille et mal branlée, à des villes neuves qui sortent littéralement d’un film américain genre Bad Boys à Miami ou encore des montagnes très arborées où faire de la randonnée. En Gérogie, tu peux tout mais alors tout faire. Enfin, sauf te faire agresser : c’est le pays le plus safe d’Europe. Mais les paysages sont absolument incroyables, et la vie si peu chère. Envie d’une pinte ? 1€ (et encore tu es dans un bar sympa !). Envie d’un restaurant ? 5€ tu es rassasié comme jamais avec les Adjarian Khatchapouri  ( et c’est très bon !).  Les spécialités culinaires de Géorgie sont absolument folles, et je t’invite à les découvrir.

Retour d’expérience en Géorgie : l’arrivée

Cette histoire commence dès Paris, grâce à Néné qui nous a fait une petite dinguerie. Après le Caravane Tour qui fût une histoire de fou que je t’invite à lire ici si tu veux te marrer – on en garde un tatouage commun – Théo décide de refaire une de ces spécialités. Je demande aux gars si tout le monde est bien enregistré etc. la veille du départ, tout le monde confirme. Arrivé à l’aéroport de Beauvais, où Théo nous rejoint depuis Caen à l’époque, il me confirme encore une fois. Et là, au moment de passer la sécurité … vous l’avez deviné, Théo n’est pas enregistré, et ne peut donc pas monter dans l’avion et arrive donc seulement deux jours plus tard. Un régal. Sur le coup, j’avais envie de le flinguer, qui a prendre 25 ans ferme, tellement ça m’a gonflé.

Bref, on s’envole donc à quatre direction la Géorgie pour arriver à Kutaisi, dans un aéroport flambant neuf, où il y a plus de chien sur la piste d’atterrissage que dans un chenil. Un accueil très surprenant donc ! On sort de l’aéroport, et là pas moins d’une vingtaine de taxis viennent te proposer leurs services. On négocie pendant une dizaine de minutes – faut pas déconner ! – et on nous emmène direction Kobuleti pour … 25 balles, pour faire 2H de route, 161 kilomètres. Le séjour commence bien. En chemin, on croise des vaches sur la route, et on s’arrête bouffer dans un petit bouiboui. Il faut savoir que là-bas les particuliers ont des vaches, qu’elles se baladent où elles veulent, et il y a un berger qui est payé par les habitants pour les rassembler le soir, les nourrir etc. C’est très étonnant ! Le taxi est hyper sympa, il nous a arrêté en bord de route, on a pris une petite bière avec lui et mangé un sandwich avant de repartir ; bien entendu la conduite est très sportive, les vitesses excessives et pas de ceinture de sécurité. Hugo – aka OuinOuin Royal – était en PLS le pauvre.

On arrive à l’hôtel, fin de journée, il fait déjà nuit : des gens jouent aux cartes et fument des joints devant l’hôtel qui semble être fermé, personne ne parle anglais c’est compliqué … en fait l’entrée se fait par derrière. On est accueilli par Ekaterina, notre ôte, qui nous réparti dans les chambres. On rencontres les premiers copains de séjour, et contrairement aux autres qui veulent rester à l’hôtel la Team française se barre direct le long de la mer noire, à la recherche d’un bar poour poser nos petits fessiers en terrasse et prendre une grande pinte ! En fait, on vient ici pour un projet de mobilité et de la formation contre la discrimination en ligne, et ça, c’était d’ailleurs très drôle. Enfin, on a rigolé jaune.

retour d’expérience en Géorgie : le projet européen, contre la discrimination en ligne

Nous étions 5 de plusieurs nationalités : Géorgie, Ukraine, Lituanie, République Tchèque, Arménie, Moldavie, Suède et bien entendu, France. Les cours commencent, la formation était navrante à souhait : on a fait des ponts en papier, par exemple. Mais le pire, ce n’est pas ça. Pour rappel, la formation s’intitule : lutter contre les fausses informations et la discrimination en ligne. Et, pour créer une unité de groupe, la formatrice propose deux choses. La première, c’est une gossip box – boite à potins – où tu mets anonymement un papier, un commentaire, et le lendemain c’est lu devant tout le monde. La deuxième, c’est un secret friend, où tu dois donner de l’attention pendant la semaine, et fin du séjour, tu passes devant tout le monde, ton secret friend se révèle et petits câlins.

La gossip box, j’ai refusé net que nous participions, les français. Et, au début tout le monde m’a appelé Sébastien le dictateur – surnom que j’assume parfaitement. Pour compenser, Ekaterina me propose de lire les gossip, et de ne pas lire ceux sur les français : il y avait des propos que j’ai trouvé très choquant sur Klara – une des tchèques qui étaient absolument canon, d’ailleurs je t’embrasse si tu me lis ! A la fin de cette première journée, les tchèques rejoignent l’alliance française, suivi rapidement par les lituaniens, puis les ukrainiens et les moldaves la gossip box est abandonné en deux jours. Et c’est parfait : je ne comprends même pas comment dans le cadre d’une formation, qui plus est sur les fausses informations, financée l’Union Européenne, tu peux faire ce genre de conneries.

Pour le secret friend, pareil, c’était assez lamentable. Les gens se font un câlin forcé – ce que j’ai refusé pour les français, certains n’étant pas à l’aise avec ça. Et là, c’est au tour d’un suédois, ouvertement assumé comme étant homosexuel, qui se retrouver avec un arménien : il refuse de le serrer dans ses bras comme le mec est homo. S’en est trop pour nous, on embarque Chris – le suédois ! – et on se barre de la salle direction le bar pour prendre un bonne pinte sa mère en terrasse.

En vrai, cette formation est vraiment navrante, on a rien foutu et quand je vois la thune que l’Europe claque là-dedans, ça me met vraiment les boules. Mais bon, entre nous, et avec les tchèques, nous sommes sortis tous les soirs, tous les matins, et les deux jours de pause pour aller visiter le pays : c’est vraiment sublime. Si tu aimes le balnéaire, la montagne, les randonnées … il y en a pour tous les goûts. En plus c’est vraiment pas cher du tout, genre tout est très accessible, que ça soit les transports, l’immobilier, la nourriture …. c’est vraiment génial. Depuis je conseille à tout le monde d’y aller, et les rares qui m’ont écouté, sont ravis de l’avoir fait !

Retour d’expérience en Géorgie : au final, la Géorgie c’est comment ?

Les gens sont adorables mais alors vraiment super chills. Bon, les taxis sont un peu cliché : si tu ne négocies pas, tu paies le triple du tarif normal de ta course. Mais sinon : aucun souci. On s’est baladé en pleine nuit, dans des coins paumés et reculés … les gens sont toujours très souriants et serviables, toujours prêt à te filer un coup de main, t’indiquer ton chemin ou partager un verre. Dans les restaurants où la carte n’était pas disponible en anglais, les gens faisaient l’effort de communiquer avec des mîmes ou des bruits d’animaux pour nous expliquer les cartes : non seulement c’est fairplay mais c’est surtout hilarant ! De manière unanime, nous pensons tous que les géorgiens sont le peuple le plus accueillant d’Europe !

Niveau visite de ville & instagram, tu vas être servi. Kobuleti, ça reste la petit ville côté coeur, parce que les gens sont très sympas, mais pour hyper tes potes, direction Batumi, le Miami local planté sur la Mer Noire, avec sa grande roue, enfin ces grandes roues, car il y en a même une dans un immeuble. (Et je dis wallah c’est vrai, tu ne peux pas la manquer !). Envie d’un peu plus d’authenticité : direction Kutaisi. C’est une vieille ville à l’architecture joliment dessinée, des petits bars bobos comme on les aime tous  ; bref, tu vas pas être perdu : c’est beau, c’est chill. 

Et, on a tellement aimé qu’on y retourne encore en novembre, cette fois visiter d’autres villes alors ce blog aura une partie 2 bébé, parce que sans déconner : on adore en parler, de la Géorgie. Si tu veux y aller en stage à l’étranger, rien de plus simple, contacte-nous on s’occupe de tout !

Pour les questions plus générales, rendez-vous sur la FAQ des stages à l’étranger de International Horizons.

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